Episode 42
Un matin, je me suis levé et je suis parti dare dare au Congo.
Je m’y suis retrouvé tintin. Il n’y avait plus de haddock alors j’ai mangé du singe, mais proprement, sans faire de grimace.
En apéro j’ai goûté de grises limaces
En dessert un sorbet lime, que j’ai bu sans faire de rime.
J’ai voulu voir Brassens, alors Odzala, j’ai garer Lily sans crier gare au gorille.
On m’a reçu par un gros rire: “c’est 400 balles la nuit si tu veux palabrer avec cousin sans avoir besoin de frapper un coup malsain.”
J’ai pris un malin plaisir à faire un doigt d’honneur au donneur malsain de leçon, sale con !
J’ai poursuivi vers le sud, passant de bras sensé à faire et refaire, Ferrer, du moins à l’écouter, sans l’écourter.
J’ai passé l’équateur où les “quoi” et les “peurs” sont restés entropiques, sans trop de piques et sans trop d’hospice entre les tropiques, du moins celui du nord, puisque je me dirigeais, comme déjà cité, vers les cités du sud, laissant les atrocités du nord, ainsi que les mines d’or, derrière moi, contrairement à ce dernier mois.
Fini les émois, je me dirige moi, vers plus d’émeus et moins d’émeutes.
Pourvu que l’autre russe n’agresse par l’autre ruche ni l’autruche. Je tiens à voir quelques animaux pour mon anni vers Lobito. Si faut se lever tôt, je prendrais de l’eau sans faire de vieux os.
je ne suis pas venu pour souffrir, ok ? C’est ok, je suis en tempête émotionnelle, en temps où je pète, putain de singe, j’veux de la citronnelle.
Trop de pique, alors je cherche mon trèfle à quatre feuilles, j’en donne une au passé, j’en jette une, j’offre la troisième à un type et je bouffe la dernière !
C’est passé !
J’avais pas le cœur à manger du Tournesol, alors je quitte la rive, pour passer du pont sans thé plutôt qu’avec des idées.
A pointe noire, je ne me suis jamais senti aussi blanc, moi qui vient du calcaire, je ne peux faire illusion, devant les disciple de Zion, même si je dis que je viens de Sion.
Je me régale de ces gars qui régatent pour me bercer de reggae.
En gros là, il me fait quitter les bas cons, au revoir les gros lards et go en Angola.
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